• "ECHOS DES PAROISSES" (ARCHIVES 2)

    Homélie
    Le Père Roger Paulin parle de la fin du monde (24/02/21)
    Il y a quelque temps, le Père Roger Paulin (le fondateur de la Fraternité "Parole et Louange") était dans ma paroisse et il a commenté le passage de l'Evangile dans lequel Jésus parle de la fin du monde et de son retour dans la gloire : "
    Vous allez entendre parler de guerres et de rumeurs de guerre (...). On se dressera nation contre nation, royaume contre royaume (...). Alors, vous serez livrés à la détresse, on vous tuera, vous serez détestés de toutes les nations à cause de mon nom (...). Mais celui qui aura persévéré jusqu’à la fin, celui-là sera sauvé" (cf. Matthieu 24, 6-13).
    Le Père Paulin a commencé par dire qu'il ne croyait pas que la fin du monde était pour tout de suite. Puis, il a expliqué pourquoi le retour de Jésus serait précédé de guerres, de rumeurs de guerre, de persécutions...
    Il a dit notamment que quand un bien arrivait quelque part, ce bien se heurtait inévitablement à une résistance venant de l'homme. C'est un peu comme si, sentant que le soleil va se lever, la nuit ne voulait pas être chassée par le jour : elle tente de lui résister. Mais elle résiste en vain car la lumière est plus forte que les ténèbres, de la même façon que Jésus est plus fort que le mal.
        
    Homélie
    Vous serez comme des dieux... (20/02/21)
    Il y a quelques jours, au monastères des Clarisses, l'évêque de mon diocèse a fait une très belle homélie sur le passage du Livre de la Genèse qui raconte l'épisode du péché originel. Il a commenté
    notamment cette phrase que Satan a dite à Eve pour l'inciter à manger du fruit défendu : "
    Pas du tout ! Vous ne mourrez pas ! Mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront, et vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal" (Genèse 3, 4-5).
    Notre évêque a dit ceci : "Cette phrase montre bien que Satan est le père du mensonge. En effet, il suffit de regarder l'état dans lequel se trouve le monde actuel pour voir que les hommes ne sont pas devenus comme des dieux !"
        
    Vœux
    Vœux à la paroisse (10/01/21)
    Récemment, lors de ses vœux à la paroisse, un prêtre de mon diocèse a attiré l'attention des fidèles sur le fait que l'on disait souvent aux enfants que l'on retrouvait après plusieurs mois sans les avoir vus : "Oh, comme tu as grandi !" Il a dit que c'était là le vœu qu'il formulait pour la paroisse, que l'on puisse dire d'elle à la fin de l'année 2021 : "Oh, comme tu as grandi !"
    Il a dit également que la vie était croissance, toujours. Il a cité notamment l'exemple d'un monsieur très âgé à qui l'on demandait régulièrement, et ce avec un peu d'inquiétude : "Comment allez-vous ?" et qui répondait inlassablement : "De mieux en mieux !"
        
    Homélie
    La fête de l'Epiphanie ((03/01/21)
    Ce matin, dans ma paroisse, un prêtre de la communauté Saint Martin a fait une très belle homélie sur l'Epiphanie.
    Il a dit notamment qu'à l'instar de l'étoile qui a guidé les Rois mages vers la crèche, et ce depuis des terres lointaines, nous devions être nous aussi la lumière du monde qui va attirer à Jésus les gens qui sont les plus éloignés de lui.
        
    Communion
    Recevoir la communion en temps de pandémie et de confinement (09/11/20)
    En France, le deuxième confinement a commencé le vendredi 30 octobre 2020.
    Afin que les fidèles ne soient pas privés d'Eucharistie, des prêtres de différentes paroisses de mon diocèse sont en train de mettre en place des heures de permanence pendant lesquelles ils donnent la communion aux fidèles qui désirent la recevoir (à l'église ou à la cure, par exemple). Espérons que cette excellente idée se généralise, en France, si toutefois le confinement doit se prolonger.
        
    Homélie
    La mort et l'action de Satan (03/11/20)
    Récemment, dans ma paroisse, un prêtre de la communauté Saint Martin a fait une très belle homélie sur la mort et sur l'action de Satan.
    Il a dit notamment que le mot "diable" venait du latin "diabolus", qui signifie : "celui qui divise" ou "celui qui désunit". Le fait que Satan soit un diviseur, a dit ce prêtre, se voit d'une manière particulière dans la mort. En effet, la mort est une séparation de l'âme et du corps.
    Mais, a-t-il ajouté, il ne faut jamais oublier que Dieu a le pouvoir de réunir ce qui a été séparé et que nous sommes tous appelés à recevoir un corps glorifié.
        
    Homélie
    Beaucoup de gens disent qu'il leur manque la joie... (26/10/20)
    Ce soir, dans ma paroisse, un prêtre de la communauté Saint Martin a merveilleusement bien parlé de la joie dans son homélie.
    Il a dit notamment ceci : "Beaucoup de gens disent qu'il leur manque la joie. Et pourtant, les occasions de se réjouir, elles, ne manquent jamais. En effet, Dieu agit sans arrêt dans le monde et dans nos vies. Nous avons donc toujours des occasions de lui rendre grâce. Mais le problème vient de nous. Nous devons apprendre à ouvrir nos yeux à toutes les grâces que le Seigneur nous envoie chaque jour, et nous devons le remercier pour tout ce qu'il fait pour nous".
        
    Homélie
    Soyez comme des gens qui attendent leur maître à son retour des noces (24/10/20)
    Récemment, dans ma paroisse, un prêtre de la communauté Saint Martin a fait une très belle homélie sur le passage de l'Evangile dans lequel Jésus dit à ses disciples : "Restez en tenue de service, votre ceinture autour des reins, et vos lampes allumées. Soyez comme des gens qui attendent leur maître à son retour des noces, pour lui ouvrir dès qu’il arrivera et frappera à la porte. Heureux ces serviteurs-là que le maître, à son arrivée, trouvera en train de veiller. Amen, je vous le dis: c'est lui qui, la ceinture autour des reins, les fera prendre place à table et passera pour les servir" (cf. Luc 12, 35-38).
    Ce prêtre a dit que ce passage était vraiment très étonnant. En effet, on a l'impression, en le lisant, que les serviteurs ne font rien ("Soyez comme des gens qui attendent leur maître") et que le maître fait tout ("C'est lui qui, la ceinture autour des reins, les fera prendre place à table et passera pour les servir").
    Normalement, c'est l'inverse qui devrait se passer : ce sont les serviteurs qui devraient travailler et le maître qui devrait ne rien faire.
    Mais en fait, a dit ce prêtre, ce passage est là pour nous faire comprendre que c'est surtout Dieu qui doit agir à travers nous (et non pas nous qui devons chercher à tout faire par nous-mêmes). Ainsi que nous le dit le Psaume 126, au verset 1 : "Si le Seigneur ne bâtit la maison, les bâtisseurs travaillent en vain".
        
    Homélie
    La sécheresse dans la prière (18/10/20)
    Ce matin, dans ma paroisse, un prêtre de la communauté Saint Martin a parlé de la sécheresse dans la prière.
    Il a dit notamment que le fait de ressentir de la sécheresse dans la prière avait au moins un avantage : cela nous montre que nous donnons du temps à Dieu de manière tout à fait gratuite; c'est-à-dire que nous ne lui donnons pas ce temps en échange de grâces sensibles ou bien de "consolations automatiques". La sécheresse est quelque chose qui nous ramène à la gratuité.
        
    Homélie
    La parabole des vignerons homicides (06/10/20)
    Dimanche dernier, dans ma paroisse, un prêtre de la communauté Saint Martin a fait une très belle homélie sur la parabole des vignerons homicides (cf. Matthieu 21, 33-43).
    Il a dit notamment que dans cette parabole, Dieu apparaissait toujours comme celui qui avait les mains ouvertes pour donner quelque chose aux autres : il loue sa vigne à des vignerons, il envoie ses serviteurs auprès de ces vignerons pour se faire remettre le produit de sa vigne, il envoie son Fils...
    Les vignerons, par contre, apparaissent toujours comme ceux qui cherchent non pas à donner mais à prendre : ils se saisissent des serviteurs envoyés par Dieu pour les frapper, les tuer ou les lapider; ils se saisissent de son Fils pour le faire périr...
    Ce prêtre a conclu en disant que nous devions apprendre à avoir les mains ouvertes pour donner, nous aussi, et non pas pour prendre d'une manière brutale.
        
    Homélie
    La pêche miraculeuse (03/09/20)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre de la communauté Saint Martin a fait une très belle homélie sur l'épisode de la pêche miraculeuse (cf. Luc 5, 1-11). Il a parlé notamment de cette phrase : "Ils (les apôtres) capturèrent une telle quantité de poissons que leurs filets allaient se déchirer".
    Il a dit qu'il y avait au moins deux miracles dans cette phrase : le fait que les apôtres aient pris beaucoup de poissons, et le fait que leurs filets ne se soient pas déchirés malgré le grand nombre de poissons.
    Mais il a ajouté que si les filets ne s'étaient pas déchirés, c'était aussi grâce aux apôtres eux-mêmes (et pas seulement grâce à Dieu) car ces derniers prenaient soin de leurs filets. Au début de ce passage de l'Evangile, en effet, il est écrit : "Il (Jésus) vit deux barques qui se trouvaient au bord du lac; les pêcheurs en étaient descendus et lavaient leurs filets".
    Ce prêtre a conclu en disant que pour que Dieu puisse faire des miracles, dans nos vies, il fallait que nous l'aidions en prenant bien soin de nos filets, nous aussi, c'est-à-dire en travaillant sérieusement et en faisant tout ce que nous avons à faire avec beaucoup de cœur.
        
    Homélie
    L'importance des miettes (16/08/20)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un diacre a fait une très belle homélie sur le passage de l'Evangile où une Cananéenne dit à Jésus : "(...) Les petits chiens mangent les miettes qui tombent de la table de leur maître" (cf. Matthieu 15, 21-28).
    Il a dit que les miettes étaient très importantes, dans l'Eglise. A la fin de chaque Eucharistie, par exemple, c'est généralement le diacre qui est chargé de nettoyer les objets liturgiques présents sur l'autel (ciboire, patène...). Et là, il faut que le diacre fasse très attention qu'il ne reste pas de miettes d'hostie sur les objets liturgiques car Jésus est présent dans chaque miette.
    Dans la deuxième partie de son homélie, il a dit que Jésus était également présent en tous nos frères qui étaient "en miettes", c'est-à-dire en tous ceux qui étaient brisés par la vie. Jésus nous aime tous et chaque être humain est important pour lui. Nous devons donc toujours Le reconnaître en l'autre, notamment en celui qui est petit et faible.
        
    Homélie
    La présence de Moïse et d'Elie auprès de Jésus lors de la Transfiguration (10/08/20)
    Récemment, au monastère des Clarisses, un prêtre a parlé de la présence de Moïse et d'Elie auprès de Jésus lors de la Transfiguration.
    Il a dit notamment qu'à travers Moïse et Elie, Dieu nous avait montré deux choses importantes.
    A travers Moïse, il nous a montré sa force. En effet, il a fait sortir son peuple d'Egypte et a donné les 10 commandements. A travers Elie, il nous a montré sa tendresse. En effet, nous nous souvenons que sur le Mont Horeb, Elie a senti la présence de Dieu dans la brise légère (cf. 1 Rois 19, 8-13).
        
    Partage
    La puissance de l'intercession de la Sainte Vierge auprès de son Fils (20/06/20)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, juste après la Messe, une personne m'a dit une chose très intéressante concernant la puissance de l'intercession de la Sainte Vierge auprès de son Fils.
    Elle m'a dit ceci : "Lorsque Jésus était enfant, il était soumis à ses parents. L'Evangile nous dit en effet (à la fin de l'épisode du Recouvrement au Temple) : "Il descendit avec eux pour se rendre à Nazareth, et il leur était soumis" (Luc 2, 51).
    Cette soumission signifie que Jésus obéissait toujours à ses parents. Par exemple, quand sa Mère lui demandait de faire quelque chose, il le faisait tout de suite. Il répondait toujours à ses appels et il avait toujours à cœur de lui être agréable.
    Or, comment les choses pourraient-elles être différentes aujourd'hui ? Au Ciel, il est certain que c'est pareil ! Jésus n'a pas changé ! Il a toujours autant à cœur d'exaucer les demandes de Marie ! C'est pourquoi l'intercession de la Sainte Vierge est si importante et si puissante ! Et on pourrait parler aussi de saint Joseph !"
        
    Homélie
    Se préparer à recevoir l'Esprit Saint (27/05/20)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a longuement parlé de la Pentecôte dans son homélie.
    Il a dit que s'il y avait eu un délai entre la résurrection de Jésus et la Pentecôte, ce n'était pas parce que l'Esprit Saint "n'était pas prêt" à descendre sur les apôtres. C'était surtout parce que les apôtres eux-mêmes n'étaient pas encore prêts à recevoir l'Esprit Saint et qu'il fallait qu'ils se préparent dans la prière.
    Nous aussi, a-t-il ajouté, nous devons aujourd'hui nous préparer à la fête de Pentecôte qui approche dans la prière. A travers la prière, nous devons ouvrir grand nos cœurs à l'Esprit Saint.
        
    Homélie
    La tête et le corps (21/05/20)
    Ce matin, à la Messe, un prêtre de ma paroisse a fait une magnifique homélie sur l'Ascension.
    Il a dit que lorsqu'un enfant venait au monde, c'était toujours la tête qui passait en premier. Puis, ensuite, vient le corps.
    Au niveau spirituel, a-t-il poursuivi, c'est exactement la même chose. Jésus est la tête de l'Eglise et il nous montre le chemin. Nous, nous sommes son Corps et nous devons le suivre.
        
    Homélie
    Quand viendra le Défenseur que je vous enverrai d'auprès du Père... (Jean 15, 26) (18/05/20)
    Récemment, à la Messe, un prêtre de ma paroisse a longuement commenté cette parole de Jésus : "Quand viendra le Défenseur, que je vous enverrai d'auprès du Père, lui, l’Esprit de vérité qui procède du Père, il rendra témoignage en ma faveur" (Jean 15, 26).
    Il a dit que l'une des choses les plus importantes en football, c'était d'avoir une bonne défense. C'est la condition pour que l'équipe adverse ne puisse pas nous dominer. Dans la vie spirituelle, a-t-il ajouté, c'est la même chose. Nous devons avoir une bonne défense pour que l'Adversaire ne puisse pas avoir le dessus sur nous. Et le Défenseur dont nous avons besoin, c'est l'Esprit Saint. Ce dernier est aussi, a-t-il dit pour terminer, Celui qui nous donne le courage et la confiance dont nous avons besoin pour aller de l'avant et être de véritables témoins de Jésus ressuscité.
        
    Homélie
    L'homélie de Mgr Dominique Rey du vendredi 3 avril 2020 (04/04/20)
    Le vendredi 3 avril 2020, Mgr Dominique Rey a fait une très belle homélie sur le passage de l'Evangile où les Juifs cherchent à lapid
    er Jésus (cf. Jean 10, 31-42).
    Il a parlé notamment de cette phrase : "
    Eux (ndlr : les Juifs) cherchaient de nouveau à l’arrêter (ndlr : Jésus), mais il échappa à leurs mains. Il repartit de l’autre côté du Jourdain, à l’endroit où, au début, Jean baptisait; et il y demeura".
    Mgr Rey a dit que la fin de cette phrase pouvait paraître anecdotique, dans un premier temps, mais qu'elle était en fait très importante. En effet, elle nous montre qu'avant d'entrer à Jérusalem et de vivre sa Passion, Jésus revient sur le lieu de son Baptême.
    Il a ajouté que nous devions revenir aux fondamentaux, nous aussi, notamment en ce temps d'épreuve que nous traversons. Il a insisté plus particulièrement sur l'importance de la foi, de la croix et de la joie.
        
    Homélie
    L'aveugle de Bethsaïde (19/02/20)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a fait une très belle homélie sur la guérison de l'aveugle de Bethsaïde (cf. Marc 8, 22-26).
    Il a dit notamment que c'était le seul miracle pour lequel Jésus s'y était pris en deux fois. En effet, il a d'abord mis de la salive sur les yeux de l'aveugle et ce dernier a dit : "J'aperçois les gens. Ils ressemblent à des arbres que je vois marcher". Puis, ensuite, Jésus lui a imposé les mains et l'aveugle s'est mis à voir normalement.
    Ce prêtre nous a dit que nous ressemblions tous plus ou moins à cet aveugle. Bien souvent, en effet, il y a certaines choses concernant Jésus que nous parvenons à comprendre, mais il y en a d'autres que nous avons beaucoup plus de mal à saisir. Nous avons donc besoin d'apprendre à ouvrir nos yeux de plus en plus.
    Ainsi, Pierre avait compris que Jésus était le Messie quand il lui a dit : "Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant !", mais il n'arrivait pas à comprendre et à accepter que Jésus devait passer par la Croix pour nous sauver (cf. Matthieu 16, 13-28).
        
    Homélie
    Vous êtes le sel de la terre (10/02/20)
    Hier, au monastère des Clarisses, un prêtre a commenté ces paroles de Jésus : "Vous êtes le sel de la terre" (Matthieu 5, 13).
    Il a dit notamment qu'en hiver, le sel était utilisé pour faire fondre la glace et que, nous aussi, en tant que chrétiens, nous devions faire fondre la glace qui est dans le cœur des hommes.
    Cela nous rappelle ce message que la Sainte Vierge nous a donné le 23 janvier 1986, à Medjugorje : "Chers enfants, je vous invite de nouveau à la prière avec le cœur. Si vous priez ainsi, chers enfants, la glace qui est en vos frères fondra. Toute barrière disparaîtra. La conversion sera facile pour tous ceux qui voudront l'accueillir. C'est un don que vous devez implorer pour votre prochain".
        
    Homélie
    La Présentation de Jésus au Temple (02/02/20)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a dit ceci au sujet de la fête de la Présentation de Jésus au Temple : "La Présentation de Jésus au Temple, c'est un peu l'offertoire de la grande Messe du Calvaire".
        
    Homélie
    Les attaques de Satan contre les chrétiens aujourd'hui (08/01/20)
    Récemment, au monastère des Clarisses, un prêtre a parlé de l'action de Satan aujourd'hui.
    Il a dit notamment que, de nos jours, Satan attaquait énormément les chrétiens au niveau de la confiance. Autrement dit, il essaye de les faire douter et de leur faire croire que Dieu n'est pas à leurs côtés, qu'il ne les protège pas, et ce afin de leur faire perdre courage.
    Ce prêtre a dit également qu'il était très important de toujours demander à Dieu la grâce de la confiance quand nous prions.
        
    Homélie
    De nombreux signes d'espérance (05/01/20)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, c'est notre évêque qui a célébré la Messe de l'Epiphanie. A la fin de la célébration, il a dit : "Puisse Dieu nous donner un cœur ouvert et des yeux ouverts car, au milieu de la nuit, il y a beaucoup d'étoiles dans le ciel. Il y a beaucoup de signes d'espérance. Mais pour les voir, il faut avoir un cœur ouvert et des yeux ouverts".
        
    Homélie
    Les 4 nuits les plus importantes dans l'histoire de l'humanité (27/12/19)
    Le 24 décembre, à Medjugorje, la Messe de minuit a été célébrée par Mgr Henryk Hoser. 59 prêtres étaient présents. Dans son homélie, Mgr Hoser a dit qu'il y avait eu une quatre nuits importantes dans l'histoire de l'humanité : celle où Dieu a créé la lumière, celle où Dieu a montré le ciel à Abraham en lui disant que ses descendants seraient aussi nombreux que les étoiles, celle où les Hébreux sont sortis d'Egypte et celle où le Messie est né.
        
    Homélie
    Le Missel romain est comme le cerveau humain (23/11/19)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre franciscain a parlé du Missel romain. Le Missel romain est le livre liturgique qui rassemble les textes (ordinaire de la Messe, chants, lectures, oraisons...) ainsi que les indications rituelles et musicales (rubriques) nécessaires à la célébration de la Messe.
    Ce prêtre a dit avec beaucoup d'humour : "Le Missel romain est un véritable trésor. On peut y trouver de très nombreuses oraisons pour des occasions très diverses. Il est dommage que nous n'allions pas plus souvent puiser dans ce trésor. Le Missel romain, c'est un peu comme le cerveau humain : on en utilise que 5% !"

        

    Homélie

    La Présentation de Marie au Temple (21/11/19)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre franciscain a parlé de la Vierge Marie. Il a dit notamment que, selon toute vraisemblance, Marie était une benjaminite (c'est-à-dire qu'elle appartenait à la tribu de Benjamin, l'une des douze tribus d'Israël).
    Joseph, lui, était un descendant de David et il appartenait à la tribu de Juda.
    Or, il se trouve que la tribu de Benjamin et celle de Juda étaient des tribus ennemies. Donc, a conclu ce prêtre, on peut dire que la Vierge Marie est un signe d'unité et de réconciliation.
       
    Homélie
    Les "frères" de Jésus (24/09/19)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre franciscain a commenté le passage de l'Evangile dans lequel il nous est dit : "En ce temps-là, la mère et les frères de Jésus vinrent le trouver, mais ils ne pouvaient pas arriver jusqu’à lui à cause de la foule" (Luc 11, 28).
    Ce prêtre a rappelé que le mot "frère" désignait en fait les cousins. Il a expliqué notamment que dans sa paroisse, il habitait avec un prêtre africain du Togo et que ce dernier lui avait dit que, dans son pays, on employait toujours le mot "frères" pour désigner les cousins.
        
    Homélie
    Juger les autres (03/08/19)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a dit ceci : Juger les autres, c'est semer la division en soi-même.
        
    Psaume
    Le Psaume 22 et les sacrements de l'initiation chrétienne (28/06/19)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, à l'occasion de la fête du Sacré Cœur de Jésus, un prêtre a fait une magnifique homélie sur le Psaume 22. Ce Psaume nous dit notamment :
        
    Le Seigneur est mon berger :

    je ne manque de rien.
    Sur des prés d’herbe fraîche,
    il me fait reposer.
        
    Il me mène vers les eaux tranquilles
    et me fait revivre;
    il me conduit par le juste chemin
    pour l’honneur de son nom.
        
    Si je traverse les ravins de la mort,
    je ne crains aucun mal,
    car tu es avec moi,
    ton bâton me guide et me rassure.
        
    Tu prépares la table pour moi
    devant mes ennemis;
    tu répands le parfum sur ma tête,
    ma coupe est débordante.
        

    Ce prêtre a dit que ce Psaume 22 faisait référence aux trois sacrements de l'initiation chrétienne. En effet, les mots "Il me mène vers les eaux tranquilles" renvoient au Baptême, les mots "Tu prépares une table pour moi" renvoient à l'Eucharistie", et les mots "Tu répands un parfum sur ma tête" renvoient à la Confirmation.
        
    Réflexion
    La nourriture spirituelle (23/06/19)
    Récemment, au monastère des Clarisses, un prêtre a fait une homélie qui était tellement belle qu'à la fin, on entendait une mouche voler. Il y avait un silence vraiment très profond dans la chapelle du monastère.
    A la sortie de la Messe, en parlant de ce silence tout à fait extraordinaire, une personne m'a dit ceci : "Les gens ont reçu une bonne nourriture spirituelle. C'est pour cela qu'il y avait ce silence. Vous savez, c'est un peu comme pendant un repas entre amis : quand la nourriture est bonne - et notamment quand arrive le moment du dessert -, les gens se taisent et ils pensent à ce qu'ils sont en train de manger !"
        
    Trinité
    Le Cardinal Philippe Barbarin parle de la Sainte Trinité (16/06/19)
    Ce matin (jour de la fête de la Sainte Trinité), au monastère des Clarisses, c'est le Cardinal Philippe Barbarin qui a célébré la Messe.
    Dans son homélie, il a dit que le Père était la source qui coulait sans cesse. En effet, le Père ne fait que se donner. Il nous donne son amour en permanence.
    Mais cette source, a-t-il dit, il faut bien qu'elle soit reçue. Le Fils est donc celui qui reçoit tout du Père. Et l'Esprit Saint est cette circulation d'amour entre le Père et le Fils.
    Le Cardinal Barbarin a dit également qu'ayant été créés à l'image de Dieu, nous devions tous être une circulation d'amour. L'amour doit circuler en nous.
    Il a notamment attiré notre attention sur l'importance du sacrement de la Confirmation. Ce sacrement est d'autant plus important que les toutes dernières paroles que Jésus a prononcées avant son Ascension renvoient à lui : "Et moi, je vais envoyer sur vous ce que mon Père a promis. Pour vous, demeurez dans la ville jusqu'à ce que vous soyez, d'en haut, revêtus de puissance" (Luc 24, 49).
    Cette Eucharistie célébrée par le Cardinal Barbarin a été un moment très fort.
        
    Marie
    La présence de Marie à chaque Eucharistie (10/06/19)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a dit une chose extrêmement belle et extrêmement profonde sur la présence de la Vierge Marie à chaque Eucharistie.
    Il a commencé par rappeler que l'Eucharistie était aussi un sacrifice. Ainsi que le dit le paragraphe 1365 du Catéchisme de l'Eglise Catholique : Dans l'Eucharistie le Christ donne ce corps même qu'Il a livré pour nous sur la Croix, le sang même qu'Il a "répandu pour la multitude en rémission des péchés" (Mt 26, 28).
    Puis, le prêtre a dit ceci : De la même façon que la Vierge Marie priait au pied de la Croix quand son Fils Jésus a été crucifié, elle prie aujourd'hui au pied de l'autel quand nous célébrons l'Eucharistie.
        
    Apocalypse
    Et de mer, il n'y en a plus (19/05/19)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a commenté le passage de l'Apocalypse de saint Jean où il nous est dit : "Moi, Jean, j’ai vu un ciel nouveau et une terre nouvelle, car le premier ciel et la première terre s’en étaient allés et, de mer, il n’y en a plus. Et la Ville sainte, la Jérusalem nouvelle, je l’ai vue qui descendait du ciel, d’auprès de Dieu, prête pour les noces, comme une épouse parée pour son mari" (cf. Ap 21, 1-5a).
    Ce prêtre nous a dit que s'il n'y avait plus de mer, au ciel, c'était parce que dans la symbolique chrétienne, la mer représentait le lieu où vivaient les démons.
        
    Jésus
    Du pain et du poisson (05/05/19)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a commenté le passage de l'Evangile qui raconte le moment où, après la Résurrection de Jésus, les disciples descendent d'une barque pour aller rejoindre leur maître qui les attend sur le rivage (cf. l'Evangile selon Saint Jean 21, 1-19). Le texte nous dit ceci : "Une fois descendus à terre, ils aperçoivent, disposé là, un feu de braise avec du poisson posé dessus, et du pain".
    Ce prêtre nous a dit que l'idée exprimée par cette image du pain et du poisson était la suivante : le pain de l'Eucharistie est préparé sur le feu de la Passion.
        
    Conversion
    Accepter les critiques des autres (12/03/19)
    Récemment, au monastère des Clarisses, la Messe du jour a été célébrée par l'évêque de notre diocèse. Dans son homélie, il a dit notamment : Souvent, nous essayons de cacher certains de nos défauts. Mais on ne parvient pas à cacher totalement Satan. Il y a toujours quelque chose qui dépasse : une oreille, un bout de patte, un bout de la queue... et les autres voient ce mal qui est en nous et que nous essayons de dissimuler.
    C'est pourquoi, quand les autres nous critiquent, il ne faut pas systématiquement se dire : "Ils sont jaloux !" ou bien : "Ils ne me comprennent pas !" Au contraire, il faut savoir accueillir leurs critiques dans l'humilité et, quand nous prions, il nous faut aussi demander à Dieu la grâce de nous révéler quels sont nos défauts, et notamment ceux qui nous échappent ou que nous ne voulons pas voir.

        
    Carême
    Le début du Carême (05/03/19)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a fait une très belle homélie pour nous préparer à entrer en Carême. Il nous a dit notamment ceci :
    Quand une femme apprend qu'elle attend un enfant, elle arrête de fumer, de boire... afin que son enfant puisse grandir normalement et que sa grossesse se passe bien. De même, nous aussi, nous devons nous convertir pour permettre à Jésus de grandir à l'intérieur de nous.
        
    Loi
    Les 10 Commandements de Dieu (03/03/19)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a parlé de la loi de l'Ancien Testament.
    Il a dit notamment que les 10 Commandements de Dieu étaient un peu comme une radiographie. Une radio permet de mettre en lumière ce qui ne va pas, dans notre corps; mais elle ne peut pas, à elle seule, nous guérir. Si nous voulons guérir, alors il faut que nous allions voir un médecin et que nous lui montrions nos radios afin qu'il puisse voir où est le problème.
    De même, dans notre vie spirituelle, nous devons examiner notre conscience à la lumière des dix Commandements, et ceci afin de voir ce qui ne va pas dans notre âme et dans notre cœur. Mais nous devons également aller nous confesser pour recevoir le pardon de Dieu. Sans la deuxième démarche, en effet, il n'y a pas de guérison possible.
        
    Amour
    Aimer en général et aimer en particulier (24/02/19)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a attiré notre attention sur ce que signifiait le verbe aimer.
    Il a dit notamment qu'aimer ne signifiait pas "aimer en général" mais "aimer en particulier".
    Par exemple, il est facile de dire "J'aime les gens en général". Mais ce n'est pas là ce que Dieu nous demande. Dieu nous demande d'aimer les gens en particulier, c'est-à-dire d'aimer ceux que nous rencontrons dans notre vie quotidienne.
        
    Réforme
    Faire mémoire de l'appel du Seigneur (07/02/19)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a longuement parlé de sainte Colette, la réformatrice de l'ordre des Clarisses (elle est fêtée le 7 février).
    Il a dit notamment que ce qui était vrai pour les ordres religieux était vrai pour nous également : chacun d'entre nous a besoin de se réformer et de revenir à la ferveur primitive. Et pour cela, a-t-il dit, il est important que tous les hommes, et ce dans la vocation particulière qui est la leur (sacerdoce, mariage, célibat...), fassent mémoire du jour où ils ont reçu l'appel du Seigneur.
        
    Baptême
    Toi, tu es mon Fils bien-aimé (15/01/19)
    Le jour de la fête du Baptême de Jésus, au monastère des Clarisses, un prêtre a commenté le passage de l'Evangile dans lequel il nous est dit : Comme tout le peuple se faisait baptiser et qu’après avoir été baptisé lui aussi, Jésus priait, le ciel s’ouvrit. L’Esprit Saint, sous une apparence corporelle, comme une colombe, descendit sur Jésus, et il y eut une voix venant du ciel : "Toi, tu es mon Fils bien-aimé; en toi, je trouve ma joie" (cf. Luc 3, 16).
    Ce prêtre nous a dit que chacun de nous pouvait reprendre cette phrase à son compte : "Toi, tu es mon Fils bien-aimé; en toi je trouve ma joie".
    En effet, le paragraphe 1268 du Catéchisme de l'Eglise Catholique dit bien (en parlant des baptisés) : Par le Baptême ils participent au sacerdoce du Christ, à sa mission prophétique et royale, ils sont "une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis pour annoncer les louanges de Celui qui les a appelés des ténèbres à son admirable lumière" (1 P 2, 9).
        
    Foi
    Dieu a besoin de notre foi pour pouvoir agir en nous (07/12/18)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a commenté le passage de l'Evangile dans lequel Jésus guérit deux aveugles (Matthieu 9, 27-31). En voici un extrait : Quand il fut entré dans la maison, les aveugles s’approchèrent de lui, et Jésus leur dit : "Croyez-vous que je peux faire cela ?" Ils lui répondirent : "Oui, Seigneur". Alors il leur toucha les yeux, en disant : "Que tout se passe pour vous selon votre foi !"
    Ce prêtre a dit que la dernière phrase ("Que tout se passe pour vous selon votre foi !") faisait écho aux paroles que la Vierge Marie a prononcées à l'Annonciation: "Que tout m'advienne selon ta parole" (Luc 1, 38). Ces paroles nous montrent que Dieu a besoin de notre foi pour pouvoir agir en nous.
        
    Jéricho
    L'aveugle de Jéricho (19/11/18)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a commenté le passage de l'Evangile dans lequel il est question de la guérison de l'aveugle de Jéricho (cf. Luc 18, 35-43).
    Ce prêtre a dit que Jéricho était une ville qui détenait un record : elle est la ville la plus basse du monde, et ce avec une altitude proche de -240 mètres au-dessous du niveau de la mer (source : wikipédia).
    Donc, quand Jésus guérit l'aveugle de Jéricho, c'est un peu comme un "signe" qu'il nous donne pour nous faire comprendre qu'il veut mettre la lumière dans nos ténèbres les plus profondes.
        
    Joie
    La joie est fille de l'effort (31/10/18)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, notre aumônier a commenté le passage de l'Evangile dans lequel Jésus nous dit : "Efforcez-vous d’entrer par la porte étroite, car, je vous le déclare, beaucoup chercheront à entrer et n’y parviendront pas" (cf. Luc 13, 22-30).
    Il a beaucoup insisté sur les mots "efforcez-vous", dans son homélie. Il a notamment cité cet ancien dicton : "la joie est fille de l'effort".
        
    Jean-Paul II
    Prier avec le Pape saint Jean-Paul II (10/10/18)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a commenté le passage de l'Evangile dans lequel l'un des douze disciples demande à Jésus : "Seigneur, apprends-nous à prier" (Luc 11, 1-4).
    Ce prêtre nous a dit qu'il y a quelques années, il avait été invité au Vatican et qu'il avait pu prier avec le Pape Jean-Paul II, dans sa chapelle privée. Il était assis au premier rang et il était très près du Saint Père.
    Il a dit qu'en voyant Jean-Paul II prier devant le Saint Sacrement, il avait été émerveillé. Il a dit également qu'en quittant la chapelle, il s'était retourné une dernière fois pour regarder le Pape et qu'il avait compris, à ce moment-là, que toute la fécondité du Pontificat de Jean-Paul II prenait sa source dans la prière.
        
    Homélie
    L'importance de l'obéissance (10/09/18)
    Récemment, au monastère des Clarisses, un prêtre a parlé de l'importance de l'obéissance dans l'Eglise, dans son homélie. Il a dit notamment qu'obéir, c'était accepter que ce ne soit plus nous qui vivions mais Jésus qui vive en nous (selon l'expression utilisée par saint Paul dans sa lettre aux Galates, chapitre 2, verset 20).
        
    Humour
    L'opération "mains propres" (03/09/18)
    Quand on lit l'Evangile, on s'aperçoit que les Pharisiens ne sont pas des "pêcheurs d'hommes" (ils n'essayent pas d'attirer les autres à Dieu avec douceur et en utilisant cet appât qu'est l'amour) mais des "chasseurs d'hommes" (ils poursuivent sans cesse les autres avec leurs accusations et leurs questions : "Pourquoi ne faites-vous pas ceci ?", "Pourquoi ne faites-vous pas cela ?"...).
    Dans l'Evangile du dimanche 2 septembre 2018, voilà que les Pharisiens s'approchent de Jésus et lui demandent pourquoi ses disciples ne se lavent pas les mains avant de manger (Marc 7, 1-8, 14-15, 21-23).
    Dans son homélie de ce dimanche, un prêtre de ma paroisse a dit avec humour, en commentant ce passage, que les Pharisiens voulaient lancer l'opération "mains propres" !
        
    Fête
    Saint Louis, patron du Tiers Ordre Franciscain (25/08/18)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a dit au début de la Messe que le roi saint Louis était le patron du Tiers Ordre Franciscain.
        
    Homélie
    La fête de Marie Reine (22/08/18)
    Aujourd'hui, au monastère des Clarisses, un prêtre a dit dans son homélie que, bien souvent, quand l'Eglise disait une chose officielle concernant la Vierge Marie, cette chose prenait sa source dans une croyance populaire.
    Ainsi la fête de Marie Reine (qui a lieu chaque année 8 jours après l'Assomption) est une fête d'institution récente. En effet, elle a été établie par le Pape Pie XII en 1954. Mais en fait, cela fait très longtemps que les chrétiens invoquent Marie comme Reine. L'origine de cette fête et la dévotion à Marie Reine sont donc très anciennes.
        
    Homélie
    Jusqu'à 70 fois sept fois (16/08/18)
    Aujourd'hui, au monastère des Clarisses, l'évêque de mon diocèse a présidé la Messe et il a commenté le passage de l'Evangile dans lequel Jésus dit à l'apôtre Pierre de pardonner non pas jusqu'à sept fois mais jusqu'à 70 fois sept fois (Matthieu 18, 21; 19, 1).
    L'évêque a dit avec humour : "70 fois sept fois, cela représente 490 fois. Mais il est vrai qu'il n'est toujours facile de se rappeler si l'on en est à 489 ou 491. Donc, il vaut mieux ne pas compter et pardonner sans cesse".
        
    Humour
    Chanter, c'est prier deux fois (04/08/18)
    Hier, à la fin de notre rencontre du Rosaire, l'un des prêtres de notre paroisse est venu nous voir pour discuter avec nous. A un moment donné, alors que nous parlions de l'importance du chant, un membre du groupe a cité cette phrase de saint Augustin : "Chanter, c'est prier deux fois". Le prêtre lui a alors répondu avec humour : "Oui. Et chanter juste, c'est prier trois fois !"
        
    Homélie
    Fioretti de saint Jean XXIII (22/07/18)
    Aujourd'hui, une internaute du site "Chère Gospa" a envoyé le message suivant :
    Dans son homélie, ce matin, un prêtre de notre diocèse a raconté l’anecdote suivante. Je ne peux m’empêcher de la partager avec vous :
    Après son élection, le bon Pape Jean (le Pape saint Jean XXIII) éprouvait quelques difficultés pour s’endormir.
    Un soir, alors qu’il tournait et se retournait sans pouvoir fermer l’œil, le Seigneur lui dit : "Angelo, est-ce toi ou moi qui porte le monde ?"
    Vous devinez bien sûr la réponse que fit saint Jean XXIII.
    Après cela, il se tourna sur le côté et s’endormit.
        
    Homélie
    L'importance de l'écoute (15/07/18)
    Aujourd'hui, au monastère des Clarisses, le prêtre a dit dans son homélie : "Il est intéressant de noter que nous avons une bouche et deux oreilles. C'est là un signe pour nous faire comprendre que nous devons écouter deux fois plus que nous parlons".
        
    Foi
    Nous avons la foi de nos cantiques (07/06/18)
    Aujourd'hui, au monastère des Clarisses, un prêtre a dit dans son homélie : "Nous avons la foi de nos cantiques". C'est une très belle phrase que les anciens disaient souvent et qui signifie que rien qu'en écoutant les chansons religieuses que nous composons et que nous chantons à la Messe, on peut voir la profondeur de la foi qui nous anime.
        
    Baptême
    Le mot copain (05/06/18)
    Ce week-end, un prêtre de mon diocèse a baptisé une petite fille pendant la Messe. De nombreux enfants étaient présents dans l'assemblée.
    Dans son homélie, ce prêtre a dit que le mot "copain" venait du mot "pain". En fait, les "co-pains" sont ceux qui partagent le "pain" ensemble.
        
    Liturgie
    Le temps ordinaire (31/05/18)
    Récemment, au monastère des Clarisses, un prêtre a parlé du "temps ordinaire" dans son homélie. Comme nous le savons, en effet, le "temps de Pâques" s'est achevé avec la fête de Pentecôte et, depuis, nous sommes à nouveau dans le "temps ordinaire".
    Ce prêtre a dit que, contrairement à ce que l'on pensait parfois, le "temps ordinaire" ne signifiait pas "temps quelconque". Le "temps ordinaire" évoque en réalité l'idée d'un "temps ordonné". Pour que l'Eglise puisse nous conduire à Jésus, en effet, il est important que la liturgie soit bien ordonnée.
        
    Homélie
    Le témoignage de Laurent Gay (09/02/18)
    Aujourd'hui, au monastère des Cl
    arisses, dans son homélie, un prêtre a dit qu'il était allé écouter le témoignage de Laurent Gay, il y a quelque temps. Laurent Gay est l'auteur du best-seller : "Arraché à l'Enfer, la résurrection d'un toxico" (aux éditions des Béatitudes, 2007).
    Une chose a marqué ce prêtre dans ce témoignage : Laurent Gay a dit qu'il avait été baptisé, après sa naissance, mais que sa famille n'était pas pratiquante et que, par manque de repères au niveau religieux, il était tombé dans la drogue.
    D'où l'importance, a dit ce prêtre, de la pratique religieuse. Le baptême ne suffit pas, à lui seul, à nous protéger de tout. Il faut que l'homme fasse sa part, lui aussi, et ce en priant et en se convertissant.
        
    Homélie
    On serait tenté de dire que l'essentiel est fait... (09/01/18)
    Récemment, l'évêque de mon diocèse est venu célébrer la Messe au monastère des Clarisses. Dans son homélie, il a dit une chose très simple mais tellement vraie : "Nous venons de fêter Noël. Dieu s'est fait homme. On serait tenté de dire que l'essentiel est fait... mais il reste quand même une question extrêmement importante : nos cœurs sont-ils ouverts pour l'accueillir ?"
        
    Homélie
    Dieu nous rejoint dans l'instant présent (09/12/17)
    Un évêque était de passage au monastère des Clarisses, ce matin. Dans son homélie, il a dit une chose très intéressante concernant l'aide de Dieu.
    Il a dit que Dieu nous rejoignait toujours dans l'instant présent. C'est au moment où une difficulté survient qu'Il nous accorde la grâce dont nous avons besoin pour la surmonter. Pour cette raison, a-t-il ajouté, nous ne devons jamais nous inquiéter à l'avance. S'inquiéter à l'avance, c'est voir une difficulté sans la grâce - puisque cette grâce nous sera donnée au moment où la difficulté se présentera.
        
    Idée
    Une idée pour que les fidèles puissent se former gratuitement (01/12/17)
    Récemment, le prêtre qui administre ma paroisse a eu une idée formidable. A la cure, il a installé une bibliothèque où toutes les personnes qui le souhaitent peuvent venir mettre les livres spirituels qu'elles possèdent chez elles (catéchisme, ouvrages de théologie, vie des saints...) et qu'elles ne lisent plus. Et chaque fidèle de la paroisse peut prendre gratuitement les livres qui l'intéressent et les emporter chez lui pour les lire.
    Cette idée est vraiment extraordinaire. Elles permet aux gens de se former gratuitement.
        
    Homélie
    Comparaison égale poison (23/08/17)
    Ce matin, mon évêque a fait une très belle homélie sur le passage de l'Evangile où Jésus nous parle des ouvriers qui ont été embauchés à des heures différentes mais qui ont tous reçu le même salaire à la fin de la journée (Matthieu 20, 1-16). Nous nous souvenons que les ouvriers qui avaient été embauchés les premiers pensaient recevoir un salaire plus important que les autres. Nous nous rappelons également qu'ils ont dit au maître : "Ceux-là, les derniers venus, n’ont fait qu’une heure, et tu les traites à l’égal de nous, qui avons enduré le poids du jour et la chaleur !"
    Dans son homélie, mon évêque a posé la question suivante : "Parmi tous les ouvriers, quels sont ceux qui ont le plus souffert ? Est-ce que c'est ceux qui ont enduré le poids du jour et la chaleur ou bien ceux qui ont été embauchés les derniers et qui ont passé pratiquement toute leur journée à se demander comment ils allaient faire pour nourrir leur famille ?" Puis, il a conclu en disant: "Il y a des choses que Dieu seul peut juger. Comparaison égale poison".
        
    Homélie
    Un filet qui ramène toutes sortes de poissons (04/08/17)
    Récemment, au monastère des Clarisses, un prêtre franciscain a commenté le passage de l'Evangile dans lequel il est dit : "Le royaume des Cieux est encore comparable à un filet que l'on jette dans la mer, et qui ramène toutes sortes de poissons. Quand il est plein, on le tire sur le rivage, on s'assied, on ramasse dans des paniers ce qui est bon, et on rejette ce qui ne vaut rien" (Matthieu 13, 47-48).
    Ce prêtre nous a dit ceci : "Ce n'est pas le poisson qui dit qu'il doit être accepté par le pêcheur et mis dans un panier. C'est le pêcheur qui, en REGARDANT le poisson, décide s'il faut le mettre dans un panier ou bien s'il faut le rejeter. Le pêcheur est juge, et non pas le poisson. Donc, si nous voulons être acceptés par Dieu, au jour du jugement, il est indispensable que Dieu puisse VOIR le bien en nous. Autrement dit, il est nécessaire qu'au cours de notre vie terrestre, notre foi se traduise en actes et qu'elle ne reste pas simplement des paroles".
        
    Homélie
    Une perle de grande valeur (30/07/17)
    Aujourd'hui, au monastère des Clarisses, un prêtre a commenté le passage de l'Evangile dans lequel Jésus nous dit que le Royaume des Cieux est comparable à une perle de grande valeur qu'un homme achète après avoir vendu tout ce qu'il possédait (Matthieu 13, 45-46).
    Il a dit notamment ceci : "Cette parabole peut être comprise de deux façons différentes. La perle peut représenter Jésus. L'acheteur, dans ce cas, c'est l'homme qui donne tout ce qu'il a pour le suivre. Mais la perle peut aussi représenter l'homme. Et l'acheteur, dans ce cas, c'est Jésus qui donne tout ce qu'il a - jusqu'à la dernière goutte de son sang - pour sauver l'homme".
        
    Homélie
    Moïse sauvé des eaux (18/07/17)
    Aujourd'hui, au monastère des Clarisses, dans son homélie, un prêtre a dit une chose très intéressante sur le passage de l'Ancien Testament où Moïse est mis dans une corbeille avant d'être recueilli par la fille de Pharaon (Exode 2, 1-15a) : "Avant de sauver son peuple, Moïse a d'abord été sauvé des eaux. De même, avant de nous sauver, Jésus a été sauvé d'Hérode".
        
    Action de grâce
    L'importance de l'action de grâce (15/05/17)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a attiré notre attention sur le fait qu'il était très important de remercier Dieu pour toutes les bonnes choses qu'il nous accordait dans nos vies.
    En effet, il arrive assez souvent que nous ayons l'impression que les choses se passent "naturellement bien", pour nous, et nous oublions alors de remercier Dieu. Dans ces cas-là, a dit ce prêtre, nous ressemblons à ceux qui adorent les idoles car nous nous adorons nous-mêmes : nous pensons que les bienfaits viennent de nous-mêmes alors qu'ils viennent de Dieu.
        
    Esprit Saint
    Il faut passer des rames à la voile ! (24/04/17)
    Ce matin, à la Messe, l'évêque de mon diocèse a fait une très belle homélie sur l'Evangile du jour (Jean 3, 1-8). Il a notamment commenté ces paroles de Jésus au Pharisien Nicodème : "Amen, amen, je te le dis : personne, à moins de naître de l’eau et de l’Esprit, ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair; ce qui est né de l’Esprit est esprit. Ne sois pas étonné si je t’ai dit : il vous faut naître d’en haut. Le vent souffle où il veut : tu entends sa voix, mais tu ne sais ni d’où il vient ni où il va. Il en est ainsi pour qui est né du souffle de l’Esprit".
    L'évêque a dit qu'il ne suffisait pas d'être croyant pour être vraiment chrétien. Ce qu'il faut, surtout, c'est grandir dans la foi. En effet, on n'a pas la foi comme on a le permis de conduire. Il nous faut avancer, progresser.
    En ce qui concerne les paroles de Jésus sur le vent, il a dit qu'elles étaient une invitation à se laisser guider par l'Esprit Saint et à ne pas chercher à tout faire par soi-même. Autrement dit, il faut passer des rames à la voile ! C'est beaucoup plus rapide !
        
    Humour
    Ses disciples sont venus de nuit et l'ont dérobé pendant que nous dormions (21/04/17)
    Récemment, sur son site Internet, le Père Dominique-Fabien Rimaz a noté une chose amusante :
    Après la résurrection de Jésus, des gardes qui étaient devant le tombeau sont allés informer les grands prêtres que le tombeau était vide. L'Evangile nous dit ceci (au sujet des grands prêtres) : Ceux-ci, après s'être assemblés avec les anciens et avoir tenu conseil, donnèrent aux soldats une bonne somme d'argent, avec cette consigne : "Vous direz ceci : "Ses disciples sont venus de nuit et l'ont dérobé pendant que nous dormions". Et si l'affaire vient aux oreilles du gouverneur, c'est nous qui l'apaiseront, et nous ferons en sorte que vous ne soyez pas inquiétés" (Matthieu 28, 12-14).
    Ce passage est vraiment très amusant. En effet, peut-on réellement voir quelque chose et être au courant de ce qui se passe autour de soi... quand on dort ??
        
    Homélie
    Si je parviens à toucher seulement son vêtement... (31/01/17)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a fait une très belle homélie sur le passage de l'Evangile qui raconte l'histoire de la femme qui avait des pertes de sang. Voici un extrait de ce passage : "Or, une femme, qui avait des pertes de sang depuis douze ans... - elle avait beaucoup souffert du traitement de nombreux médecins, et elle avait dépensé tous ses biens sans avoir la moindre amélioration; au contraire, son état avait plutôt empiré - ...cette femme donc, ayant appris ce qu’on disait de Jésus, vint par-derrière dans la foule et toucha son vêtement. Elle se disait en effet : "Si je parviens à toucher seulement son vêtement, je serai sauvée". A l’instant, l’hémorragie s’arrêta, et elle ressentit dans son corps qu’elle était guérie de son mal" (Marc 5, 25-29).
    Ce prêtre a dit que par notre baptême, nous étions devenu en quelque sorte ce "morceau du vêtement de Jésus". Pour beaucoup de gens, en effet, nous sommes l'unique lien entre Jésus et eux. C'est nous qu'ils voient, pas Jésus. C'est nous qu'ils touchent, pas Jésus. C'est nous qu'ils entendent, pas Jésus. Notre mission de baptisés est donc très grande.

        
    Homélie
    Le Seigneur soit avec vous ! (20/12/16)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a attiré notre attention sur la phrase : "Le Seigneur soit avec vous". Cette phrase est dite au début de chaque Messe et elle revient à plusieurs reprises au cours de chaque Eucharistie.
    Ce prêtre nous a dit que ce souhait que le Seigneur soit avec nous était vraiment une réalité pour la Vierge Marie. En effet, au moment de l'Annonciation, l'ange lui même l'a saluée en lui disant : "Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi" (Luc 1, 28).
        
    Homélie
    Il y aura des signes dans le soleil, la lune et les étoiles... (24/11/16)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a fait une très belle homélie sur le passage de l'Evangile dans lequel Jésus parle de la fin du monde : "Il y aura des signes dans le soleil, la lune et les étoiles. Sur terre, les nations seront affolées et désemparées par le fracas de la mer et des flots. Les hommes mourront de peur dans l’attente de ce qui doit arriver au monde, car les puissances des cieux seront ébranlées. Alors, on verra le Fils de l’homme venir dans une nuée, avec puissance et grande gloire." (Luc 21, 25-27).
    Ce prêtre a dit que pour que Jésus puisse venir régner dans nos coeurs, il fallait que certains repères stables disparaissent. C'est donc à nous de chercher quels sont les "faux soleils", les "fausses lunes" et les "fausses étoiles" qui sont en nous afin de purifier nos cœurs et de permettre à Jésus d'être le Roi à l'intérieur de nous.
        
    Homélie
    L'aveugle de Jéricho (16/11/16)
    Récemment, au monastère des Clarisses, un prêtre a fait une très belle homélie sur l'aveugle de Jéricho (Marc 10, 46-52). Voici un petit extrait du passage :
    Et tandis que Jésus sortait de Jéricho avec ses disciples et une foule nombreuse, le fils de Timée, Bartimée, un aveugle qui mendiait, était assis au bord du chemin. Quand il entendit que c’était Jésus de Nazareth, il se mit à crier : "Fils de David, Jésus, prends pitié de moi !" Beaucoup de gens le rabrouaient pour le faire taire, mais il criait de plus belle : "Fils de David, prends pitié de moi!" (...)

    Le prêtre a dit qu'il était intéressant de noter, dans ce passage, que Bartimée était aveugle... mais que la foule était sourde, et ce parce qu'elle ne voulait pas l'entendre!
    En effet, l'Evangile nous dit : "Beaucoup de gens le rabrouaient pour le faire taire".
    Les handicaps des autres nous renvoient donc bien souvent à nos propres handicaps !
        
    Homélie
    Les renards et les poules (27/10/16)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a fait une homélie absolument extraordinaire.
    Dans l'Evangile du jour (Luc 13, 31-35), des Pharisiens viennent avertir Jésus qu'Hérode veut le tuer et Jésus leur répond : "Allez dire à ce renard : voici que j’expulse les démons et je fais des guérisons aujourd’hui et demain, et, le troisième jour, j’arrive au terme. Mais il me faut continuer ma route aujourd’hui, demain et le jour suivant, car il ne convient pas qu’un prophète périsse en dehors de Jérusalem. Jérusalem, Jérusalem, toi qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants comme la poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous n’avez pas voulu !"
    Il est intéressant de noter que, dans sa réponse, Jésus compare Hérode à un renard et qu'il se compare lui-même à une poule. Cette image est très parlante car nous savons bien que le renard cherche toujours à tuer et à manger les poules.
        
    Homélie
    La parabole du fils prodigue (11/09/16)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a fait une très belle homélie sur la parabole du fils prodigue (Luc 11-32). Il a dit que les deux enfants avaient du mal à se sentir "fils".
    Le plus jeune, en effet, dit à son père : "Père, j'ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d'être appelé ton fils. Traite-moi comme l'un de tes ouvriers". Il se sent donc comme un "ouvrier".
    L'aîné, lui, dit à son Père : "Il y a tant d'années que je suis à ton service sans avoir jamais transgressé tes ordres". Il se sent donc lui aussi comme un "ouvrier".
    Ce prêtre nous a expliqué que nous devions tous apprendre à être des fils devant Dieu et à entrer dans une relation d'amour avec Lui.
        
    Homélie
    Quand quelqu'un t'invite à des noces, ne va pas t'installer à la première place (28/08/16)
    Aujourd'hui, à la Messe, nous avons lu le passage de l'Evangile où Jésus nous dit : "Quand quelqu'un t'invite à des noces, ne va pas t'installer à la première place" (Luc 14, 1. 7-14)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre a dit dans son homélie que nous avions toujours tendance à nous mettre à la première place, et ce pour que tout le monde puisse nous voir.
    Toutefois, a-t-il ajouté, il y a un endroit où nous allons et où nous n'aimons pas occuper les premières places. Cet endroit, ce sont nos églises. En effet, les premiers bancs sont toujours vides.
        
    Homélie
    L'invité qui n'avait pas revêtu l'habit de noce (20/08/16)
    Le jeudi 18 août 2016, à la Messe, nous avons lu le passage de l'Evangile où il est question d'un roi qui demande à ses serviteurs d'aller par les chemins et d'inviter à la noce tous ceux qu'ils trouveront (Matthieu 22, 1-14). Nous nous souvenons qu'à la fin de ce passage, le roi demande à ses serviteurs de jeter l'un des invités dans les ténèbres du dehors, et ce parce qu'il n'a pas l'habit de noce.
    Dans son homélie, un prêtre de ma paroisse a dit que lorsqu'ils invitaient des gens à un dîner de noce, les rois de l'époque fournissaient toujours aux invités un habit de noce. Aussi est-ce pour cette raison que le roi n'a pas apprécié que cet invité n'ait pas revêtu cet habit.
        
    Homélie
    Une très belle image de Dorothée de Gaza sur l'unité des hommes (25/05/16)
    Ce matin, à la Messe, un prêtre de ma paroisse a parlé de Dorothée de Gaza (un saint de l'église orthodoxe qui a vécu au 6e siècle).
    Il nous a dit que pour Dorothée de Gaza, la vie ressemblait à un cercle. Au centre de ce cercle, il y a Dieu. Il y a également des rayons qui partent du cercle et qui convergent tous vers le centre, un peu comme les rayons de la roue d'un vélo.
    Au cours de sa vie, chacun d'entre nous avance sur l'un de ces rayons. Et plus nous nous rapprochons du centre, plus nous nous rapprochons de Dieu; et plus nous nous rapprochons également les uns des autres, plus nous sommes unis.
       
      

    Homélie
    Jésus est le bon berger (17/04/16)
    Dans son homélie de l'Evangile du dimanche 17 avril 2016, un prêtre de ma paroisse a commenté cette phrase de Jésus : "Mes brebis écoutent ma voix" (Jean 10, 27). Il a dit notamment que l'image du berger était une image qui nous parlait tout particulièrement, aujourd'hui, car nous ne voyons pas Jésus de la même manière que ses contemporains l'ont vu.
    En effet, depuis que Jésus est monté au ciel et que, de ce fait, il est devenu invisible à nos yeux, nous essayons surtout d'entendre sa voix en lisant la Bible et de comprendre ce qu'il attend de nous en discernant.
    Il a dit également quelques mots sur le texte tiré de l'Apocalypse de saint Jean (Jean 7, 9.14b-17). Ce texte commence par cette phrase : "Moi, Jean, j'ai vu : et voici une foule immense, que nul ne pouvait dénombrer, une foule de toutes nations, tribus, peuples et langues".
    Il a dit que cette phrase faisait écho à ces paroles que Dieu a dites à Abraham par l'intermédiaire de son ange : "Je rendrai ta descendance aussi nombreuse que les étoiles du ciel et que le sable au bord de la mer" (Genèse 22, 17).
        
    Méditation
    Les portes du lieu où se trouvaient les disciples étaient verrouillées (méditation personnelle) (04/04/16)
    Une petite méditation de votre serviteur >>
        
    Homélie
    La différence entre les remords et le repentir (23/03/16)
    Récemment, dans une homélie consacrée à la trahison de Judas et au reniement de Pierre, un prêtre de ma paroisse a dit cette très belle phrase : "Les remords conduisent au tourment, le repentir conduit à la paix".
        
    Homélie
    La parabole du fils prodigue (08/03/16)
    Dimanche dernier, dans son homélie sur la parabole du fils prodigue, un prêtre de ma paroisse a dit ceci : "Les deux fils ont le problème inverse l'un de l'autre. Le fils cadet se croit indigne de son père. Il pense qu'il ne mérite pas d'être accueilli. Il croit qu'il ne vaut plus rien. Le fils aîné, par contre, est certain qu'il est digne, qu'il mérite ceci ou cela. Il pense qu'il est au-dessus de son frère cadet. Par son attitude pleine d'amour et de miséricorde, le père veut aider ses deux enfants à progresser intérieurement et à avancer sur le chemin du véritable amour".
        
    Homélie
    La vraie patience (27/02/16)
    Ce matin, dans son homélie sur le fils prodigue, un prêtre de ma paroisse nous a parlé de la vraie patience. Il nous a dit notamment ceci : "Souvent, nous n'avons pas la vraie patience. Nous attendons ce que nous voulons, certes, mais nous attendons avec un certain énervement, et en disant intérieurement des paroles qui ne sont pas des paroles de bénédiction. Nous devons avoir la vraie patience. Nous devons attendre en bénissant nos ennemis et en ayant un cœur rempli d'amour pour eux, comme celui de Dieu".
        
    Homélie
    Une belle définition de l'espérance (21/02/16)
    Un prêtre de ma paroisse a donné une très belle définition de l'espérance, dans son homélie de ce matin. Il a dit : "L'espérance, c'est la foi conjuguée au futur".
        
    Homélie
    Les grands prêtres, les scribes, les rois mages et la naissance de Jésus (04/01/15)
    Pour la fête de l'Epiphanie, un prêtre de ma paroisse a attiré notre attention sur un point très intéressant dans son sermon. Il nous a dit : "Lorsque les rois mages sont arrivés chez le roi Hérode pour lui demander où le Sauveur devait naître, Hérode a réuni tous les grands prêtres et les scribes d'Israël et ces derniers lui ont répondu que Jésus devait naître à Bethléem en Judée (Matthieu 2, 1-12). Mais ce qui est très étonnant, c'est que ni les grands prêtres ni les scribes ne sont allés adorer Jésus. Seuls les rois mages se sont rendus à la crèche. Autrement dit, ceux à qui la Bonne Nouvelle était annoncée en priorité - et qui savaient où Jésus devait naître (les grands prêtres, les scribes) -, n'ont pas répondu à l'appel de Dieu".

        
     

    Humour
    Les Pères blancs (19/09/15)
    Il y a quelques semaines, un prêtre de ma paroisse a fait rire toute l'assemblée au début d'une Messe.
    Il y avait avec lui, pour concélébrer cette Messe, un prêtre qui faisait partie des "Pères blancs" (une société de vie apostolique fondée en 1868 par Mgr Lavigerie, l'archevêque d'Alger).
    Or, il se trouve que ce prêtre était africain. Après nous l'avoir présenté, le prêtre de ma paroisse a dit avec beaucoup d'humour et de tendresse (et cela a beaucoup fait rire son confrère également) : "Bien qu'il soit noir, c'est un Père blanc quand même".
        
    Homélie
    Le feu de la veillée pascale (20/04/14)
    Hier, pendant la veillée pascale, un prêtre de ma paroisse a dit la chose suivante en parlant du feu qui sert à allumer le cierge pascal :
    Le feu est ce qui permet de faire passer un aliment du cru au cuit. Il n'y a que les hommes qui mangent les aliments cuits. Les animaux ne le font pas. Et passer du cru au cuit, c'est passer de la nature à la culture. C'est un peu comme pendant la prière eucharistique. Le pain et le vin deviennent le corps et le sang du Christ. On passe alors du naturel au surnaturel.
        
    Témoignage

    L'histoire de la dame âgée et des saignements de nez
    (05/02/14)
    On n'imagine pas tous les miracles (petits ou grands) que Jésus accomplit chaque jour autour de nous, tout près de nous, dans nos villes et dans nos paroisses.
    C'est extraordinaire !
    Récemment, une personne de ma paroisse m'a raconté une histoire extrêmement touchante.
    Le 8 décembre dernier, après s'être mouchée un peu trop fort, elle a commencé à avoir des saignements de nez très abondants, et ce d'une manière quotidienne.
    Ces saignements se produisaient plusieurs fois par jour et ils duraient pendant de longues minutes, rendant ses journées insupportables.
    Etant âgée de 80 ans et étant très fatiguée à ce moment-là, elle ne pouvait pas se rendre chez l'oto-rhino-laryngologiste pour qu'il cautérise la lésion à l'intérieur du nez.
    Le 20 décembre au soir, avant d'aller se coucher, une prière lui est venue spontanément à l'esprit : "Jésus, dans l'Evangile tu as guéri une femme qui souffrait de saignements depuis 12 ans, et ce après qu'elle ait touché ton manteau (cf : Marc 5, 25-29). Ce que tu as fait pour cette femme, fais-le également pour moi !"
    Le 21 décembre au matin, les saignements avaient complètement disparu et ils ne sont jamais revenus par la suite.
    Cette histoire est vraiment très belle. Chaque fois que j'y repense, je me dis la chose suivante : la Bible devient vraiment un moyen de rencontrer personnellement Jésus lorsqu'en la lisant nous découvrons non pas uniquement l'histoire des autres mais, aussi et surtout, notre propre histoire !
        
    Sermon
    L'importance de la bénédiction des prêtres
    (30/01/14)
    Dans les messages qu'elle donne chaque 2 du mois à la voyante Mirjana, la Vierge de Medjugorje insiste souvent sur l'importance de la bénédiction des prêtres.
    Elle nous a dit notamment ceci : "Chaque jour je prie pour les pasteurs et j’attends la même chose de vous. Car, mes enfants, sans leur conduite et la force que vous recevez à travers la bénédiction, vous n’y arriverez pas" (02/06/12).
    Ce matin, à la Messe, un prédicateur québécois qui est actuellement de passage dans ma paroisse a longuement parlé de la bénédiction des prêtres dans son sermon.
    Il a notamment insisté sur deux points :
    1)-La bénédiction des prêtres est surtout destinée à nous maintenir dans la présence de Dieu.
    2)-La bénédiction est très importante car c'est le dernier geste que Jésus a fait avant de quitter cette terre et d'aller rejoindre son Père, au moment de l'Ascension.
    En effet, comme nous le dit Saint Luc : "Or, comme il les bénissait, il se sépara d'eux et fut emporté au ciel" (Luc 24, 51). Voir aussi >>
           
    Sermon
    Stigmates
    (09/04/13)
    Voici une très jolie phrase qu'un prêtre de ma paroisse a dite dans son homélie du dimanche de la Divine Miséricorde (au sujet des stigmates de Jésus) :
    Les mains de Jésus ressuscité sont les écrans qui font défiler devant nos yeux les images de sa Passion, preuve de son amour pour nous.
        
    Témoignage
    La foi des Polonais (14/12/12)
    Récemment, dans ma paroisse, un conférencier a raconté une histoire très intéressante :
    Cet été, il est allé en vacances en Pologne. Dans la petite ville où il a séjourné, il y avait pas moins de cinq Messes le dimanche matin. Parfois, la foule était tellement nombreuse que les gens ne pouvaient pas tous rentrer dans l'église. Ils devaient alors suivre la Messe dehors.
    Depuis sa chambre d'hôtel, ce conférencier a été marqué par une chose : au moment de l'élévation de l'hostie, tous les gens qui se trouvaient dehors s'agenouillaient, directement sur la chaussée. C'est là une image très forte, vous ne trouvez pas ?
    Que se serait-il passé si cela s'était produit en France ? On aurait dit qu'il s'agissait d'une prière de rue et on aurait cherché à l'interdire !

        
    Sermon
    L'Incarnation selon le Bienheureux Jean Duns Scott
    (08/11/12)
    Aujourd'hui, l'Eglise fait mémoire du Bienheureux Jean Duns Scott, un frère mineur d'origine écossaise qui est mort en 1308 à l'âge de 42 ans.
    Dans son sermon de ce matin, un prêtre de ma paroisse a dit que Jean Duns Scott pensait que même si Adam et Eve n'avaient jamais péché (c'est à dire même si le péché originel n'avait jamais eu lieu), Jésus se serait incarné quand même.
        
    Sermon
    Le dogme de l'Assomption (15/08/12)
    Dans le sermon qu'il a prononcé ce matin, un prêtre de ma paroisse a rappelé que contrairement à d'autres dogmes, le dogme de l'Assomption n'était pas le fruit d'une réflexion théologique qui a été menée à partir des Saintes Ecritures. Ce dogme est le fruit d'une réflexion qui a été menée à partir de la Sainte Tradition.
        
    Enseignement
    L'Ascension est un "zoom arrière" (17/05/12)
    Un jour, dans un Foyer de Charité, un prédicateur a dit que la fête de l'Ascension faisait écho à celle de l'Annonciation (le 25 mars).
    Pour lui, l'Annonciation est un "zoom avant" (Jésus "s'éloigne" du Ciel et il "se rapproche" de la terre) alors que l'Ascension est un "zoom arrière" (Jésus "s'éloigne" de la terre et il "se rapproche" du ciel).
        
    Humour
    Quand la mémoire fait défaut(14/02/12)
    Une religieuse qui est très âgée, et à qui la mémoire fait parfois défaut, m'a confié récemment : "Vous savez, quand il m'arrive d'oublier certaines choses, je me console en me disant que Jésus est Celui qui oublie le plus : Il oublie tous nos péchés !"
        
    Medjugorje
    Le Père Danko nous invite à changer notre regard(22/08/11)
    Au moment de la fête de l'Assomption 2011, il y a eu une rencontre avec le Père Danko, à Medjugorje. Le Père Danko a raconté l'histoire suivante :
    Un jour, un homme voit sa voisine étendre du linge, dehors. Mais il constate que ses draps sont encore sales. Il se dit : "Tiens, sa machine à laver doit mal fonctionner".
    Quelques minutes plus tard il jette à nouveau un coup d'oeil et constate que les draps sont maintenant propres. Il appelle sa femme pour lui demander ce qu'elle en pense.
    Sa femme lui dit : "Que tu es bête. Je viens tout juste de nettoyer les vitres de la fenêtre par laquelle tu regardes. C'est la vitre qui avait des taches !"
        
    Pensée
    Attirer les jeunes dans les églises(30/07/11)
    Qui sont les gens qui, dans un passé récent, ont attiré le plus grand nombre de jeunes dans les églises (en France et, aussi, dans le monde) ?
    Sœur Emmanuelle (des chiffonniers du Caire), l'Abbé Pierre, le Père Guy Gilbert, Jean-Paul II...
    Hum, il y a des moments où j'ai envie de rire quand j'entends des gens dire : "Il faut des jeunes pour attirer les jeunes dans les églises !"
    En effet, l'expérience concrète montre que les jeunes chrétiens ne sont pas forcément les plus susceptibles d'attirer les autres jeunes à la foi ! Très souvent, les jeunes qui sont éloignés de la foi sont plus sensibles au témoignage et à l'exemple des anciens.
        
    Réflexion 
    Pourquoi recevons-nous tant de grâces au moment de Pâques ?(26/04/11)
    Récemment, avec une amie, nous avons échangé nos impressions sur les fêtes de Pâques. Nous avons eu tous les deux le sentiment d'avoir reçu beaucoup de grâces, et notamment des grâces de joie, de paix intérieure et de renouvellement de notre vie spirituelle.
    En parlant, nous nous sommes demandé comment il se faisait que des cadeaux aussi particuliers "tombent du ciel" justement au moment de Pâques (plutôt qu'à Noël ou à la Pentecôte; bien que des grâces extraordinaires soient données au moment de toutes les fêtes).
    Voici les conclusions auxquelles nous sommes arrivés :
    -Pâques est la plus grande fête chrétienne. 
    -Pâques étant la plus grande fête chrétienne, elle est précédée d'une prière communautaire extrêmement forte (la préparation du Carême, la longue lecture de la Passion du Christ le jour des Rameaux, la messe du Jeudi Saint, la deuxième lecture de la Passion du Christ le Vendredi Saint et la prière d'intercession pour tous les hommes du monde entier, les longues lectures de la veillée pascale...).
    -Cette longue préparation communautaire (qui n'est pas aussi forte avant Noël ou avant la Pentecôte) fait sûrement que nos âmes sont "mieux préparées" à recevoir les cadeaux que Dieu veut nous donner... d'où ce sentiment que l'on reçoit peut-être "plus".
    Nous nous sommes dit également qu'il était dommage que la fête de Pâques ne soit pas plus "populaire" que la fête de Noël (dans la conscience populaire, du moins).
    En effet, le 25 décembre, tous les gens se souhaitent un "Joyeux Noël". Par contre, pour Pâques, on entend moins souvent les gens se souhaiter une "Bonne fête de Pâques".
        
    Humour
    Il ne faut pas s'endormir devant le Saint Sacrement ! (06/03/11)
    Récemment, sur une radio chrétienne, j'ai entendu un prédicateur dire ceci : "Il faut prier et non pas s'endormir quand on est devant le Saint Sacrement. Ceux qui s'endorment ne font pas de l'adoration mais de... l'adodoration !"
        
    Sermon
    Le paralytique de Capharnaüm (14/01/11)
    Ce matin, un prêtre de ma paroisse a fait une très belle homélie sur le passage de l’Evangile qui raconte la guérison du paralytique de Capharnaüm (Marc 2, 1-12).
    Il a dit ceci : "Ce qu’il y a de merveilleux, dans ce récit, c’est que le paralytique est descendu par quatre hommes à travers le toit de la maison. Ce passage par le haut est un appel à méditer sur l’importance de l’intercession et de la communion des saints. Nous sommes tous appelés à nous aider les uns les autres".
        
    Evangile
    Sans Domicile Fixe (08/09/10)
    Une amie vient de me raconter l'histoire suivante :
    "Un dimanche, dans ma paroisse, pendant une messe, un monsieur très mal habillé est venu s'asseoir sur le banc de devant avec son chien pour assister à la célébration. En le voyant arriver, une personne qui était assise sur ce même banc a dit tout haut et avec dédain : Oh, un SDF !
    Comme j'étais assise juste derrière cette personne, je me suis permis de lui glisser discrètement dans l'oreille : Vous savez, Jésus aussi était un SDF. Rappelez-vous ses paroles : Les renards ont des terriers et les oiseaux du ciel des nids; le Fils de l'homme, lui, n'a pas où poser sa tête (Lc 9, 58)".
        
    Humour
    Paroles de connaissance (24/07/10)
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    ne parole de connaissance très amusante a été donnée lors de la journée de prière pour les malades à Paray le Monial, en juillet 2010.
    Une première parole a dit : "Il y a une personne, dans l'assemblée, qui a beaucoup d'argent. Jésus l'appelle à faire des dons aux pauvres et aux nécessiteux".
    Puis, quelques instants plus tard, une seconde parole de connaissance a dit la chose suivante : "En entendant la parole précédente, une personne fortunée a pensé qu'elle ne lui était pas adressée. En fait, elle lui est bien adressée. Cette personne se reconnaîtra car elle a un portefeuille en crocodile".
        
    Sermon
    Il n'y a pas de mal à se faire du bien (28/06/10)
    Voici ce qu'a dit un diacre parisien dans son homélie du dimanche 27 juin 2010 (lu sur le site "Totus tuus") : "Il n'y a pas de mal à se faire du bien, à condition que ce soit vraiment du bien, car il n'y a pas de bien à se faire du mal !"
        
    Sermon
    Le secret de la liberté (01/05/10)
    Un prêtre de ma paroisse a longuement prêché sur l'importance qu'occupe aujourd'hui l'apparence physique. Il a notamment dit ceci : "Je me suis souvent demandé comment les saints avaient fait pour être aussi libres durant leur vie. En fait, leur secret est le suivant : ils ne se souciaient pas de l'opinion des autres. Ils ne cherchaient pas à plaire. Ils n'étaient pas esclaves du regard des autres. Ils ne s'occupaient pas de ce que l'on pensait ou de ce que l'on disait d'eux".
        
    Humour
    Prise d'habit (21/04/10)
    Il y a quelques jours, j'ai assisté à une prise d'habit. A la fin de la célébration, une personne a dit cette phrase vraiment très amusante : "Prions beaucoup pour cette novice, pour qu'elle soit fortifiée dans sa vocation. En effet, il serait dommage qu'après avoir mis "le" voile... elle mette "les" voiles !"
        
    Vie des Saints
    Ce que signifie être un enfant de Dieu pour Sainte Catherine de Sienne (17/04/10)
    Dans son sermon de ce matin, un prêtre de ma paroisse a raconté l'histoire suivante : "Un jour, Sainte Catherine de Sienne a eu une vision. Dans cette vision, il lui a été donné de comprendre ce qu'était réellement un enfant de Dieu. Elle a donc vu un enfant de Dieu. Il était tellement beau qu'elle a cru que c'était Dieu lui-même, et elle s'est prosternée devant lui. En fait, ce n'était qu'un être humain".