• J'AI TROUVE UNE FORMULE MATHEMATIQUE POUR EXPLIQUER LA PLACE DE L'HOMME ET DE LA FEMME DANS L'EGLISE !

    Voici donc ma formule (elle comporte deux lignes) :
    H= (vsp x PPH) + (vph x PSP)
    F= (vsp x PSP) + (vph x PPH)
        
    Je vous l'explique très rapidement, en procédant de gauche à droite et de haut en bas. Vous allez voir, c'est extrêmement simple !
        
    1-EXPLICATION DE LA PREMIERE LIGNE
        
    H= Homme / vsp= vie spirituelle / PPH= Participation PHysique / vph= vie physique / PSP= Participation SPirituelle.
        
    En bon français, cela veut dire la chose suivante :
    L'Homme a une Participation PHysique dans la vie spirituelle (en d'autres termes, il peut devenir prêtre et donner les sacrements) et une Participation SPirituelle dans la vie physique (en d'autres termes, il ne met pas un enfant au monde au sens fort du terme, mais il participe spirituellement à la grossesse et à l'accouchement de sa femme).
        
    2-EXPLICATION DE LA DEUXIEME LIGNE
        
    F= Femme / vsp= vie spirituelle / PSP= Participation SPirituelle / vph= vie physique / PPH= Participation PHysique.
        
    En bon français, cela veut dire la chose suivante :
    La Femme a une Participation SPirituelle dans la vie spirituelle (en d'autres termes, elle ne dispense pas les sacrements mais elle transmet Dieu "spirituellement" : par la catéchèse et l'accompagnement, par exemple) et une Participation PHysique dans la vie physique (en d'autres termes, c'est elle qui porte l'enfant et le met au monde au sens fort du terme).
        
    3-REMARQUE SUR LA FORMULE
        
    En observant attentivement les deux lignes de la formule, on s'aperçoit que l'homme et la femme ont tous les deux un nombre égal de PPH et de PSP sur leur ligne respective (ce qui signifie que chacun d'eux participe PHysiquement à une chose, et SPirituellement à une autre).
    Si les femmes pouvaient être prêtres, alors elles auraient deux PPH sur leur ligne (ce qui créerait un déséquilibre avec l'homme qui, lui, n'en aurait qu'un).
        
    Il est donc préférable, afin de conserver l'égalité entre les deux, que les femmes ne deviennent pas prêtre(sse)s.
        
    Cela, soit dit en passant, ne les empêchera jamais d'être pleinement heureuses et de s'ouvrir totalement !