• LES LETTRES PRIVEES DANS LESQUELLES LE PAPE JEAN PAUL II DIT SON ATTACHEMENT A MEDJUGORJE

    Au cours de son pontificat, le Pape Jean Paul II a toujours gardé des contacts étroits avec certains de ses compatriotes. C'est notamment le cas avec Marek et Zofia Skmarnicki, qui ont souvent eu l'occasion de collaborer avec lui alors quand il était archevêque de Cracovie (Marek est un célèbre poète polonais). Dans 4 lettres qu'il leur a envoyées, le Pape exprime de manière très claire son attachement à Medjugorje. Ces lettres font l'objet d'un livre publié en Pologne en octobre 2005, mais des extraits ont été publiés dans différentes revues dès le printemps 2005, notamment dans le bulletin de liaison des "Enfants de Medjugorje" n°73.
        
        
    EXTRAIT DE LA PREMIERE LETTRE :
        
    Cher monsieur, (…) Et que tout se passe bien sur la route Medjugorje-Rome. Avec ma cordiale bénédiction. Jean Paul II, Vatican, le 30 mars 1991.
        
    EXTRAIT DE LA DEUXIEME LETTRE :
        
    Cher monsieur Marek ! (…) Et maintenant, retournons chaque jour à Medjugorje par la prière. Jean Paul II, Vatican, le 28 mai 1992.
        
    EXTRAIT DE LA TROISIEME LETTRE :
        
    "(…) Madame Zofia, je vous remercie pour tout ce qui concerne Medjugorje. Moi aussi, je me rends en pèlerinage là-bas, dans ma prière : je me joins spirituellement à tous ceux qui prient là-bas, ou qui, de là-bas, se sentent appelés à prier. Aujourd'hui nous comprenons mieux cet appel. Je me réjouis du fait que notre temps ne manque pas d'hommes de prière et d'apôtres (…). Jean Paul II, le 8 décembre 1992.
        
    EXTRAIT DE LA QUATRIEME LETTRE :
        
    Vatican, le 25 février 1994. Chers monsieur et madame ! Je vous remercie beaucoup pour vos deux lettres. Zofia m'a écrit à propos des Balkans. Maintenant, on comprend sans doute mieux Medjugorje. Cette sorte d'insistance de la Mère de Dieu se comprend d'autant mieux que nous avons devant nos propres yeux de grandes menaces. En même temps, la réponse par la prière – et cela de la part de personnes du monde entier – nous remplit de l'espoir que, là-bas aussi, le bien vaincra. La paix est possible – telle était l'esprit qui animait la 23ème journée de prière préparée par une session spéciale au Vatican, à laquelle T. Mazowiecki assista lui aussi. C'est peut-être grâce à cela aussi que l'Europe revient à elle. En Pologne aussi les gens se réveillent, d'après ce que vous m'écrivez. Peut-être qu'ils auront plus de facilité à être en accord avec le pape qui n'a pas prêché la "victoire de la démocratie", mais qui a rappelé le Décalogue (…). Avec bénédictions, Jean Paul II.