• "WE ARE FAMILY" (ARCHIVES 1)

    Medjugorje

    Vicka donne quelques conseils à ceux qui se préparent au mariage (21/12/11)

    Voici un extrait d'une interview que Vicka a accordée au Père Livio de Radio Maria en l'an 2000 :

    Q : Quels conseils donner aux jeunes qui veulent se préparer à bien vivre leur mariage, et en général aux familles : comment surmonter les difficultés du moment actuel ?

    R : Les jeunes qui désirent s'engager à bien vivre leur vie de couple doivent examiner, dès le début, si la vie matrimoniale correspond au dessein que Dieu a sur eux. En même temps, qu'ils mettent Dieu à la première place et le prient pour qu'il les aide dans leur communion de vie.

    Puis, qu'ils acceptent de tout coeur les enfants qui viendront partager leur famille. Dieu sera proche d'eux s'ils sont constants à l'invoquer et s'il y a entre eux un échange d'aide réciproque. C'est pourquoi est nécessaire une préparation sérieuse pour une donation vraie, totale, exclusive d'une personne envers une autre...

    Il faut posséder foi, prière et communion : des éléments indispensables pour sauver aujourd'hui la famille. A l'ancien style de vie en a succédé un autre : par nécessité parents et enfants vivent hors de la maison, engagés dans des travaux prolongés et quand ils rentrent ils ne trouvent plus le moyen de rester ensemble, ni le temps pour prier. Il n'y a plus de dialogue entre parents et enfants !

    Plusieurs fois la Madone a répété qu'aujourd'hui les jeunes et les familles se trouvent dans une situation très, très difficile.

    Malheureusement, actuellement beaucoup de jeunes, ayant perdu le sens du mariage chrétien, décident de cohabiter sans même plus ressentir le besoin de recevoir le sacrement de mariage.

    Dans cette situation, outre la charité de la prière, est nécessaire le témoignage de familles qui montrent une sérénité de vie puisée dans les sacrements. Les familles en crise doivent revenir à la prière : que les pères, mères et enfants se retrouvent à un moment déterminé de la journée et prient. Puis, que les jeunes soient attentifs : qu'ils se gardent de tout ce que le monde offre de passager, qu'ils s'engagent plutôt dans les réalités valables de l'esprit.

        

    Témoignage

    Le Père Guy Gilbert nous explique comment les jeunes tombent dans la délinquance (18/12/11)

    Voici un extrait du livre du Père Guy Gilbert "Un prêtre chez les loubards" (chapitre 3 : "La rue") :

    Si ça ne colle pas à la maison, si le père est mort, s'il y a divorce ou séparation, si le père ne s'occupe pas de son gosse en rentrant du boulot (quand il a deux heures de transport pour aller boulonner et autant pour revenir, lorsqu'il arrive chez lui il est complètement "à la masse", il ne peut rien écouter), alors le gosse, sachant qu'il n'est pas attendu, qu'il n'est pas désiré, il fout le camp. Il descend dans la rue. Et, comme par harsard, aux mêmes heures, il rencontre tous les mecs comme lui qui foutent le camp de chez eux...

    Ce n'est pas au niveau de la richesse/pauvreté que se situe la délinquance des jeunes. On la trouve là où n'existent pas les qualités de vie nécessaires pour faire exister un enfant. Et cela consiste d'abord dans la capacité d'écoute des parents. Dans une famille "normale", quand un môme n'est pas rentré à la maison un quart d'heure après la sortie de l'école, la mère s'affole, elle commence à penser à Police-secours... Le môme arrive, réclame son chocolat, la mère l'accueille, etc. Tout est changé !

        

    Témoignage

    Se relever la nuit pour aller consoler son enfant qui pleure (27/11/11)

    Il y a quelques jours, sur une radio chrétienne, il y a eu le témoignage tout à fait bouleversant d'un père de famille qui est devenu handicapé suite à une mauvaise chute. Après des années de dépression, la foi en Dieu lui a finalement permis de retrouver la joie et l'espérance et d'accepter de devoir vivre dans un fauteuil roulant.

    Il a notamment dit ceci : "Avant mon accident, il y a tout un tas de choses très belles que Dieu me donnait et pour lesquelles je ne le remerciais jamais parce que j'étais aveugle. Par exemple, la nuit, je devais souvent me relever pour bercer et concoler mon enfant qui pleurait. Mais cela me coûtait. Je ne le faisais pas avec joie. Puis, après mon accident, j'ai compris que le vrai problème n'était pas de devoir se relever la nuit pour aller consoler son enfant qui pleure. Le vrai problème, c'est de l'entendre pleurer et de ne pas pouvoir se relever pour aller le consoler". 

        

    Réflexion

    Pourquoi l'activisme religieux est-il le problème n°1 dans l'Eglise aujourd'hui ? (09/11/11)

    Un texte dans lequel la question de la famille est abordée. A découvrir ici >>
        
    Réflexion
    Les personnes divorcées et remariées (15/02/11)
    Quand une personne malade souffre de se sentir exclue, elle ne peut rien faire pour sortir de sa maladie. Elle ne peut qu'attendre. Sa guérison ne dépend pas d'elle.
    Quand une personne qui est en prison souffre de se sentir exclue, elle ne peut rien faire pour sortir de sa cellule. Elle ne peut qu'attendre. Sa libération ne dépend pas d'elle.
    Mais quand une personne divorcées et remariée souffre de se sentir exclue, alors, d'elle-même, elle peut retrouver en un instant la communion totale avec Dieu, l'Eglise et les autres. Il suffit tout simplement d'une toute petite décision de sa part (en l'occurrence : s'abstenir de relations sexuelles), et, dans la seconde qui suit, son problème a complètement disparu.
    En fait, la clef de son problème est dans sa poche. Quand elle le veut et où elle le veut, elle peut choisir d'être "guérie" et "libérée".
        
    Medjugorje
    La Vierge nous parle du placement des enfants dans les crèches (06/02/11)
    Le message suivant a été donné à la voyante Marija Pavlovic-Lunetti (la date exacte n'est pas spécifiée dans le livre de Cyrille Auboyneau : "Chers enfants") :
    C'est un péché de placer ses enfants à la crèche.
        
    Réflexion
    A quoi me fait penser l'union libre (18/01/11)
    L'union libre est, je trouve, une source d'ambiguïté. Les personnes sont à la fois dans le couple (elles vivent ensemble) et hors du couple (elles se réservent le droit de partir quand elles le veulent). Le lien qui les unit est donc très fragile. Il repose uniquement sur leur bon vouloir, et non pas sur Dieu. Or, quand un lien repose uniquement sur les personnes et non pas sur Dieu, il manque alors quelque chose de très important.
    D'une certaine manière, cela me fait penser à un homme qui "s'autoproclamerait" prêtre (et qui, de lui-même, déciderait de célébrer des "eucharisties" / mais ces dernières ne seraient pas valables) sans passer par l'ordination d'un évêque.
    Il y aurait là quelque chose de très bizarre qui nous mettrait vraiment mal à l'aise.
        
    Medjugorje
    La Vierge nous parle des rapports entre les familles et les prêtres (14/12/10)
    Voici un message non-daté qui a été donné par la Vierge de Medjugorje :
    Les familles ne sont rien sans les prêtres, les prêtres ne sont rien sans les familles.
        
    Réflexion
    Un exemple pour expliquer comment l'union libre peut être source de souffrance (01/11/10)
    Dans la vie de couple, il peut y avoir des problèmes sérieux. Par exemple, pour diverses raisons (soucis professionnels ou familiaux, passage à vide...), un mari peut se mettre à boire.
    Dans ce cas, si on est marié religieusement, on sait que l'on est uni pour le meilleur et pour le pire. Face à la difficulté, on s'appuie donc sur Jésus qui a porté sa croix et on porte notre croix avec lui. Malgré l'épreuve, on reste fidèle au conjoint qui a une défaillance, on prie pour lui, on ne le trahit pas (car on sait que c'est le Christ Lui-même qui est le garant de notre union) et, ainsi, l'unité de la famille est sauve (ce qui est fondamental pour les enfants).
    Mais quand on n'est pas marié religieusement, l'idée qu'il faut porter sa croix aux côtés du conjoint défaillant est moins évidente. En effet, n'étant pas uni à lui par un lien indissoluble, on est tenté de le quitter parce que, après tout, on ne se sent pas "obligé de supporter ses défauts" jusqu'à la mort.
    En même temps, on se sent uni à lui (surtout si on a eu des enfants avec lui). On a donc envie de rester à ses côtés dans l'épreuve, comme le feraient des gens mariés religieusement.
    Mais en fait, on ne sait pas ce qu'il faut faire. On a le cœur partagé.
    Ce que je viens d'écrire là, chers amis, est une chose que j'ai souvent constatée chez les couples qui vivent ensemble sans être mariés. Ils sont beaucoup plus fragiles quand la difficulté survient. Et la question "dois-je rester ou dois-je partir" - qui surgit dans la tête du conjoint qui souffre des défauts de l'autre - devient d'autant plus complexe, douloureuse et déchirante, que le lien qui unit les deux parties est fragile.
        
    Medjugorje
    Que faire quand on ne peut pas avoir d'enfant ? (19/10/10)
    Voici un extrait de la lettre de sœur Emmanuel du 15 octobre 2010 :
    Très souvent, des couples qui ne pouvaient pas avoir d’enfants, arrivent à Medjugorje avec un enfant dans les bras pour remercier Jésus et Marie…
    En effet, ils ont tout simplement suivi le conseil de la voyante Marija qui ne rate jamais une occasion de dire : "Rares sont les couples sans enfant qui n’obtiennent pas un enfant après avoir grimpé ENSEMBLE la colline du Krizevac et avoir demandé ENSEMBLE un enfant à Jésus, à genoux au pied de la croix !" Il est important que les époux fassent ensemble cette démarche.
    Récemment encore, un couple italien est venu remercier, car après cinq ans d’attente infructueuse. Ils ont demandé la grâce d’un enfant au pied de la Croix du Krizevac et dans l’année, ils ont eu des jumeaux ! Avis aux couples en souffrance : il y a peut-être des bébés préparés pour vous par le Ciel, pourquoi ne pas regarder dans cette direction ? Venez, ne tardez pas !
        
    Témoignage
    Les relations sexuelles avant le mariage (18/10/10)
    J'ai eu la chance d'avoir comme professeur de piano un homme aveugle de naissance. Il adorait Chopin et pouvait jouer ses valses sans utiliser les fameuses partitions en braille conçues pour les non-voyants. Il se rappelait de tout : de chaque note, de chaque soupir...
    Un jour, je lui ai demandé comment il faisait et il m'a répondu : "C'est simple : la main a une mémoire. Elle se souvient des positions sur le clavier, des accords, des progressions... A force de jouer, la mélodie finit par s'imprimer en elle. Oui, comme le cerveau, la main a elle aussi une mémoire".
    Ce que m'a dit ce professeur a été pour moi un grand enseignement. Plus tard, je l'ai transposé à la religion catholique, et notamment à la sexualité. Il m'a aidé à mieux comprendre pourquoi l'Eglise catholique voulait que les âmes soient unies par le mariage avant que les corps s'unissent.
    Je crois que c'est en partie parce que l'Eglise sait que le corps a une mémoire. Le corps se souvient des caresses et des gestes de tendresse qu'il a reçu. Il ne les oublie pas en une seconde. Non, l'affection qu'on lui a donnée reste comme "imprimée" en lui. Et si les âmes ne se sont pas unies par un lien de fidélité absolu avant que les corps, eux, s'unissent (c'est-à-dire si la relation sexuelle est vécue comme une petite expérience passagère), alors, dans ce cas, il risque d'y avoir de gros déchirements au moment de la séparation : le corps se souvient de l'être aimé tandis que l'âme, elle, cherche à l'oublier. Mon Dieu, quel déchirement intérieur ! Quelle douleur !
    Je crois que c'est en partie pour éviter à l'homme ce genre de souffrance que l'Eglise veut absolument protéger l'amour par un sacrement.
        
    Pensée
    Le mariage donne des charismes étonnants (21/09/10)
    Si dans le mariage on est vraiment "un", alors, lorsque les deux époux se trouvent dans deux endroits différents, chacun d'entre eux doit avoir la sensation qu'il a le don d'ubiquité (petite pensée de votre serviteur).
        
    Citation
    Qu'est-ce qui fait une famille heureuse ? (27/08/10)
    Qu'est-ce qui fait une famille heureuse ? Le fait que tout le monde conditionne sa manière d'aller et venir en fonction du nouveau-né, du malade, du vieillard, du plus faible. C'est en fonction du plus faible que chacun s'organise (l'Abbé Pierre).
        
    Réflexion
    Le fruit du concubinage (27/08/10)
    (Le but de ce message n'est pas de juger. Il s'agit simplement de rapporter une observation personnelle que je suis souvent amené à faire).
    Les gens qui vivent ensemble sans être mariés sont liés à quelqu'un mais, dans le même temps, ils se réservent le droit de quitter cette personne quand ils le souhaitent. Il y a donc en eux à la fois un "lien" et un "détachement".
    La conséquence de cela est que - par leur façon de penser, de parler et d'agir - ces gens envoient souvent des signaux contradictoires : ils parlent de leur conjoint mais n'hésitent pas à montrer ouvertement qu'ils sont sensibles au charme d'une autre personne; certaines femmes signent "madame" sur certains documents officiels et "mademoiselle" sur des lettres à caractère plus privé (comme pour bien signifier que leur coeur n'est pas encore "pris")... Tant et si bien qu'on a parfois beaucoup de mal à savoir si telle ou telle personne est unie à une autre ou pas - ou bien si cette union n'est pas prête à s'effondrer - tellement les signaux que l'on reçoit sont contradictoires.
    C'est comme si la personne était en même temps "dans" le couple et "hors" du couple. Les deux parties ne font pas "un". 
    Je résumerais volontiers les choses de la manière suivante : le fruit du concubinage est l'ambiguïté.
        
    Medjugorje
    Ivan parle de l'éducation des jeunes (compilation de paroles extraites de conférences / source : "Chers enfants")
    Jusqu'à 13 ans il est possible d'imposer aux enfants la prière et d'aller à la Messe. Après, cela n'est plus possible.
    L'éducation d'un enfant commence dès l'origine de la vie, on ne peut commencer à éduquer un enfant à l'adolescence.
    La Gospa est inquiète pour les jeunes : drogues, plaisirs désordonnés, est un leurre et disparaîtra un jour.
    Les parents se trompent en donnant trop d'objets aux enfants, il faut d'abord donner de l'amour.
    Il arrive que les mères n'aiment pas assez leurs enfants, voilà pourquoi il y a du vide dans le coeur des jeunes, et dans ce vide le mal peut agir.
    Beaucoup de choses que voient et entendent les jeunes aujourd'hui les poussent au péché.
    Les parents doivent accorder plus de temps à leurs enfants. Ils doivent être plus souvent en famille et ne pas dire "Je travaille" et laisser tomber leurs enfants.
    Il faut parler. Les parents doivent parler avec leurs enfants. Que tous soient ouverts les uns avec les autres.
    Que les enfants n'aillent pas chercher la solution de leurs problèmes en dehors de la famille, dans les cafés, les discos ou autre.
    Chaque parent voudrait que son enfant aille bien et pourtant il ne fait rien pour cela. Il ne participe pas à la vie de son enfant.